Témoignage client IFC TRITECH – Guillaume Archambault, Directeur de Formation
98% de nos clients satisfaits, l’un d’entre eux témoigne ! Guillaume Archambault, Directeur de Formation chez John Deere nous explique, en vidéo, comment il a pu améliorer ses programmes de formation avec l’appui de notre équipe IFC TRITECH.
Depuis combien de temps travaillez-vous chez John Deere ?
Ça fait à peu près six ans maintenant que je suis sur ce poste et un peu plus d’une quinzaine d’années que je travaille au sein de John Deere.
Quels sont vos objectifs de formation ?
Notre but, c’est de former le réseau de concessionnaires. On a un réseau de distributeurs qui assure la vente du matériel, le suivi, et la maintenance du matériel. Et ma focalisation est sur la partie technique, donc de m’assurer que l’on a un programme de formation qui permette de former les techniciens au diagnostic des matériels. Il y a une grosse partie, sur la partie matériel bien sûr, mais il y également toute une partie sur la relation client, sur le développement. Et comment on assure derrière la fidélisation des clients.
Formez-vous des personnes externes ?
La focalisation est vraiment sur le réseau de concessionnaires. Donc en effet, ce sont des personnes qui sont des concessions indépendantes, des sociétés avec qui on a un contrat de distribution. Elles ne sont pas salariées de John Deere et elles viennent se former au sein de notre centre de formation. Pour les salariés de John Deere, on peut les former, mais ils ont leur propre programme de formation.
Comment adapter les formations aux différents niveaux ?
On leur propose en effet des parcours de formation, pour pouvoir apporter le bon contenu de formation en fonction de l’expérience et du niveau de qualification de la personne. L’objectif est de pouvoir prendre quelqu’un indépendamment de son niveau d’expérience, mais de s’assurer qu’il intègre un parcours de formation avec des fondamentaux techniques : l’électricité, l’hydraulique, les systèmes, et ensuite de monter les personnes en compétence dans la spécialisation produits.
Où se déroulent vos formations ?
La grosse majorité de la formation se fait au niveau du centre. On a aussi des formations qui peuvent se faire en concession. C’est aussi un mode qui est apprécié. Ça permet d’éviter parfois des déplacements et de faire un peu d’économie. On peut aussi avoir des formations qui se passent dans les champs pour la mise en pratique. Et là, on est plus sur une partie réglages, optimisation des machines. Et aussi, parfois, on a des formations qui peuvent se passer à l’étranger sur des formations européennes. On va former les personnes sur une thématique commune.
Combien de personnes formées par an ?
En moyenne 2400 à 2500 personnes. Je parle maintenant de plus en plus de volume horaire de formation par an parce qu’on a aussi la formation distancielle. On a un volume d’à peu près 60 000 heures de formation par an. Un mélange entre la formation présentielle, distancielle, et puis du e-learning aussi.
Vous avez dit e-learning ?
Oui, la formation en distanciel on l’a déjà démarrée depuis de nombreuses années. On l’accélère. Aujourd’hui, on est plus sur une formule un peu hybride. On veut s’assurer que quand les personnes viennent elle puissent faire de la pratique, donc on commence de plus en plus à regarder nos contenus de formation. La partie théorique est faite en amont, de manière distancielle, et ensuite, les personnes viennent pour faire de la pratique, donc elles apprécient parce que le schéma de la formation est plus court, plus impactant et vraiment focalisé sur des activités pratiques en atelier.
Les formations avec IFC TRITECH se déroulent-elles sur site ?
Aujourd’hui, c’est des formations sur site. En effet, c’est un programme de formation sur lequel on veut s’assurer que ça fait partie à la fois des fondamentaux, et puis, en plus du perfectionnement pour nous, pour nos techniciens. L’apport il est essentiel : ça nous permet de combler dès fois des écarts, on a des jeunes techniciens qui sont tout juste diplômés, qui ont parfois eu des manques en terme de connaissances sur la partie hydraulique. Donc là, on comble l’écart sur ces fondamentaux-là et ensuite on est à un niveau avancé, toujours sur du présentiel qui permet encore une fois d’aller développer, d’être encore plus spécifique sur les interventions.
Comment vos formations IFC TRITECH gèrent les différences de niveaux des stagiaires ?
On a travaillé vraiment là-dessus, de s’assurer qu’on a des programmes qui vont nous permettre à la fois de ramener les personnes sur le même niveau et surtout de les faire progresser. Et puis en effet, à terme, pourquoi pas d’essayer de trouver aussi des modes de format hybride dans le développement et dans le déploiement des formations.
Quelle(s) évolution(s) observer sur ces dernières années ?
On a ce besoin aujourd’hui et ça, c’est vraiment un élément clé pour nos concessionnaires de dire, il faut qu’on refasse des rappels ou qu’on revienne sur des fondamentaux essentiels. Donc on avait réajusté nos programmes en fonction, on a travaillé avec IFC TRITECH pour ça. Et puis aussi, le deuxième point, de part l’évolution des machines, d’être encore plus spécifique sur la partie hydraulique. Et ça, c’est quelque chose qui fonctionne très bien.
IFC TRITECH et John Deere, une vraie collaboration dans l’évolution des contenus de formation ?
On est venus sur ces deux schémas-là. D’une part l’évolution de nos machines, mais de l’autre côté, c’est la partie un peu contextuelle. Et là, j’ai vraiment apprécié la collaboration parce qu’on est venu avec un cahier des charges en disant voilà ce qu’on a aujourd’hui, ça ne correspond pas aux attentes. Quand on a des groupes, on a trop de différences. Et il faut vraiment qu’on arrive à différencier ça, à avoir une approche par niveau et qu’on arrive à bien cibler. On a travaillé sur ce contenu-là, et il a bien fonctionné.
Quelles sont vos attentes concernant la collaboration avec IFC TRITECH ?
Ce que j’attends d’IFC TRITECH dans l’avenir, c’est de continuer sur la même base. On a une évolution, on le voit sur notre gamme, notre gamme de matériel. On a une évolution des machines. Aujourd’hui, on travaille sur la partie hydraulique. Je vois potentiellement des évolutions à terme sur la partie électrique, donc ça peut faire partie des développements. La partie hybride aussi de travailler sur des formats, des modules distanciels, qu’est ce qui peut aujourd’hui aider un technicien quand il est en train de s’auto-former ou se former, quelles compétences on peut développer à la fois en distanciel et en présentiel et puis qu’est ce qu’on peut en tirer ; comment on peut avancer sur la partie présentielle.
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